Janvier - Février - Mars 2017

28 février 2017 - Dîner débat Centrale-Supelec

Invité d'un dîner débat organisé à la Maison des Centraliens par le groupe Centrale numérique, j'y ai présenté : Les grands enjeux de l'audiovisuel à l'ère numérique.

Les mutations actuelles du secteur audiovisuel et de sa régulation se situent au confluent de deux révolutions convergentes, liées à l'émergence du numérique : d'une part une révolution industrielle, affectant l'organisation de la filière des médias ; d'autre part une révolution cognitive, affectant les conditions de l'accès aux contenus et celles de leur consommation.

Pour illustrer et agrémenter mon propos, j'ai repris en conclusion la métaphore de "l'aquarium et l'océan", originellement due à Pierre Bellanger, dirigeant de la radio Skyrock : l'audiovisuel "historique" est en définitive comparable à un bocal ouvert, plongé dans l'écosystème beaucoup plus vaste formé de l'ensemble des contenus numériques, avec lequel il entre progressivement en osmose... 

 

13 février 2017 - Club Audiovisuel de Paris - Les Lauriers de la Radio et de la Télévision 

Sur la scène du Châtelet, au cours de la 22ème cérémonie des Lauriers de la radio et de la télévision organisée par le Club Audiovisuel de Paris, j’ai eu le très grand plaisir de remettre en compagnie d’Arlette Chabot le Laurier 2017 de la radio à l’émission Carnets du monde, animée par Sophie Larmoyer sur Europe 1. J’ai prononcé à cette occasion les quelques mots suivants :

« Je me suis intéressé à la radio, j’ai aimé la radio, bien avant mon entrée au CSA. Quand j’étais ado, nous n’avions pas la télé à la maison, mais j’avais un transistor personnel dans ma chambre, auquel je tenais jalousement. La radio était alors mon média de référence … et c’était surtout ma machine à rêver ! Car la force essentielle de la radio, c’est sa formidable capacité à susciter l’imaginaire. Une voix, une musique…  et vous voilà transporté dans un ailleurs magique. Depuis cette expérience de jeunesse, j’ai gardé en moi la conviction que la radio, ce n’est pas du tout l’image en moins, mais c’est l’imaginaire en plus ! »

 Crédit : Twitter @Europe1

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